Mes pratiques psychopédagogiques
J’accompagne votre enfant en prenant en compte tant ses difficultés scolaires et cognitives, qu’émotionnelles, ceci afin de lui apporter une remédiation complète, sur une année scolaire ou plus, en stage de vacances et/ou sur des durées modulables.
– des pédagogies innovantes, éprouvées scientifiquement,
– des supports pédagogiques ludiques et multisensoriels, pour répondre aux besoins de chacun (en difficulté scolaire ou pour améliorer ses compétences, avec trouble des apprentissages ou handicap) ;
Le jeu est le support idéal pour permettre aux élèves et d’accepter de fournir un effort et de prendre le risque de se tromper pour surmonter une difficulté.
Cette activité permet de développer des compétences scolaires mais également cognitives, sociales et psycho-affectives. Elle permet à l’enfant de prendre conscience des étapes de sa réflexion et ainsi de se construire des outils cognitifs qu’il pourra ensuite utiliser en classe et dans sa vie.
Le choix des jeux est fait en fonction de leur accessibilité, pour faciliter la reconnaissance visuelle et le traitement visuo-spatial, focaliser l’attention, faciliter la manipulation. En proposant des niveaux de difficulté variables pour jouer de manière équitable, la motivation s’en trouve ainsi renforcée.
Le choix des jeux effectué permet de travailler différentes compétences nécessaires aux apprentissages scolaires : la régulation des émotions ; l’inhibition ; la flexibilité ; le langage (accès lexical, vocabulaire, classe de mots, discours interne) ;l’imagerie mentale, le traitement visuo-spatial en entrainant la recherche visuelle planifiée ; la mémorisation et les interactions sociales.
Mais attention ! Le jeu n’est pas une fin en soi. Les élèves doivent en avoir conscience. Il y a des objectifs d’apprentissages derrière cette activité, qui sont clairement nommés et permettent ainsi le dialogue métacognitif. Cet outil est indispensable pour faire prendre conscience aux élèves de ce qu’ils doivent travailler ou renforcer, afin de remédier à leurs difficultés.


– la psychologie de l’éducation et du développement de l’enfant font partie intégrante de mon cursus universitair et m’offre une approche développementale de l’enfant.
– la pédagogie positive, valorise les efforts fournis pour diminuer le stress et augmente l’estime de soi.
– la neuroéducation, permet d’accéder à ses mécanismes propres d’apprentissage et ainsi de les améliorer et gagner ainsi confiance en soi ;

– la médiation animale : la certification ACACED chiens et chats me permet de travailler avec la présence ou la participation de mes animaux afin de proposer un environnement apaisant et médiateur langagier et émotionnel non négligeable.
Mes animaux jouent un rôle unique dans mes prises en charge, par leur simple présence tout d’abord et à leur guise, favorisant un climat de confiance et de sérénité. Ils aident les enfants à s’ouvrir plus facilement et à exprimer leurs émotions, rendant le processus thérapeutique plus efficace et agréable.
La médiation programmée avec les animaux offre également des moments de répit et de joie, qui sont essentiels dans un contexte d’apprentissage et de développement personnel. Ces interactions favorisent la concentration, l’observation et le respect.
Le respect du bien-être de mes animaux étant primordial, aucune présence, aucune activité n’est forcée. Cela permet aux enfants d’apprendre le respect animal et d’échanger autour du respect des règles en tout domaine.
Ce sont les chats qui ont pris possession du cabinet. Certains, comme Nala (sur les photos ci-dessous), ont pris l’habitude d’être là à des moments bien précis, pour soutenir l’accompagnement de certains enfants.
« Ça me fait beaucoup de bien ! Nala est très souvent avec moi. Elle me fait des câlins, je la gratouille, et je suis prêt à travailler. Ça m’apaise de l’avoir à côté de moi. » (L. 10 ans)
La participation d’une de mes chiennes ne se fera qu’avec l’accord des parents à travers un objectif de médiation bien précis, correspondant aux besoins de leur enfant.

– la médiation culturelle pour relancer la « machine à penser » des enfants résistant aux apprentissages, en suivant les pratiques psychopédagogiques de Serge Boimare (vidéo ci-dessous).
